L'encolure droite, les oreilles pointées en avant, je galopais à fond de train sur le sable blanc. Mes sabots martelaient le sol d'un bruit sourd, faisant s'envoler des gerbes de sable et trembler les petits cailloux amoncelés sur le rivage. Les oreilles à présent rabattues sur le sommet du crâne, je forças encore l'allure. Ce ne fut que lorsque j'arrivais au bout de la plage que je pila brusquement. Le sable vola de toutes parts. Un peu déséquilibré, je me dressa sur mes postérieurs avant de retomber lourdement sur mes quatre membres. Je m'ébrouai, décollant mes poils mêlés de sable et de sueur. Le souffle court, haletant, je rentra calmement dans l'eau translucide. Avec un plaisir évident, je me détendit dans le liquide à moitié tiède. C'était un des rares endroits encore assez chaud depuis le gel et notre réapparition. Nous étions seuls, sans humains pour nous diriger, nous n'étions qu'un clan de quelques individus. Je soupira et sortit de l'eau sans prendre la peine de m'ébrouer. Je baissa la tête et souffla sur le sable chaud. Je la redressa brusquement, sentant une présence non loin de moi. Je me raidis et mon toupet se crispa sur mon chanfrein. Je me retourna complètement et regarda autour de moi d'un oeil suspect. Aucun bruit ne troublait le silence de temps à autre humectés des vagues s'échouant sur le rivage. Je ronfla des naseaux et resta sur mes gardes.
Promise
Droguée et tordue, aussi Chef Suprême à ses heures !
Je sentais la lumière du soleil faire des reflets délicats sur ma belle robe alezane. Je laissais quelques soufflement sourd sortir de mes naseaux. Ma queue en panache, je pris un petit trot aérien et doux. Je continuai à souffler délicatement des naseaux et laissait ma crinière voleté dans l'air doucement. Je baissais l'encolure d'un seul coup et continuer à trotter sur le sable chaud et brulant. Le soleil m'aveuglait à moitié car je m'avançais vers lui d'un pas sûr. Soudain une silhouette alezane ce désina à l'horizon et j'arrivai vers lui à une vitesse normal. Je m'arrêtais doucement et regardai le mâle de mes yeux marrons. - Bonjour.
[ Pas d'inspiration. ]
Satan }
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Cette fois, j'en était certain, j'avais perçu un bruit !! Je me raidis encore plus, me ramassant sur moi-même, prêt à bondir, tous les sens en éveil. Soudain, elle apparut dans la lumière éclatante et lumineuse du soleil. Je me détendis et me redressa. Je panacha même un peu ma queue, réflexe à peine visible. La jument me regarda. A mon tour, je plongea mon regard noisette dans le sien, sans aucune allure dragueuse. Pour une fois ! « Bonjour » lâcha-t-elle d'un ton neutre et doux qu'était le son de sa voix. Je répondis de même, d'un ton rauque et neutre, en me demandant ce qui m'arrivait, de ne rien tenter pour la séduire, aussi jolie fut-elle. Un peu distrait, j'en oublia de lui demander son prénom.
- Bonjour.
Promise
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Il y a peu j'avais fais la rencontre d'une jeune jument qui ce prénommait Celestia Era. On s'était rencontré sur la plage et aujourd'hui je rencontre un jeune étalon sur une plage. En faite ma seule question qui trottait dans ma tête, c'était pourquoi je venais sur une autre plage. C'était... idiot. Mais je restais imobille, le regard posé sur le jeune welsh alezan. D'ailleurs, j'avais rencontré dans la savane une jeune welsh de couleur grise du nom d'Arizöna. Le vent tiède de la mer venait jouer avec mes crins qui s'emmellait sans cesse. Je secouas doucement mon encolure et laissais un petit grondement sourd mais paisible sortir de mes naseaux. Ma queue en cascade, même si c'était pas la periode des chaleurs c'était une habitude que j'avais prise.
« JE M'APPELLE PROMISE & VOUS ?»
Satan }
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Je dévorais la jument des yeux. De ses oreilles fines et bien modelés, de ses yeux expressifs et intelligents, en passant par son corps svelte et un peu arrondi qui lui donnait tant de charme jusqu'à ses membres fins et secs. Je lui décrocha un superbe sourire et reporta mon regard dans ses yeux, d'une intensité que je n'avait vue qu'une ou deux fois. Ses humeurs semblaient faciles à déterminer, tant son corps respirait la vie à plein nez. J'inclinai légèrement la tête en signe de salut galant, mais non dragueur je tiens à le préciser et écouta sa voix cristalline s'élever à nouveau dans les airs. Mais comme bien souvent l'on ne retient qu'une partie des paroles écoutées, je ne retint qu'un mot. « Promise. ». Comme par automatisme, je répondis d'une voix distraite :
- Sparkled Grungry, enchanté.
Promise
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Le regard posé sur le corps du jeune welsh qui me regardait d'une drôle de façon. Je lui lâchais tout de même des sourires amicales et gentils. Ma queue fouettais délicatement l'air d'une façon étrange. Je lâchai un petit soupire et secoua ma crinière de droite à gauche d'une façon tout aussi étrange. Je respirai la vie à plein poumon mais certaine chose me gâchais tout et me laisser évader mes larmes que je retenais au plus profond de mon coeur. C'est comme une souffrance éternel que vous faites tout pour gâcher. En tant que dominante je me devais de ne pas être si faible. Je devais résister. Je lâchais un soupire, fermis les yeux doucement et secoua ma robe légèrement. La voix grave mais magnifique de l'étalon me fit rouvrir les yeux brutalement, me fessant revenir que je n'étais pas chez les morts mais chez les vivants. Je laissa un petit soupire doux mais long sortir de mes naseaux et je baissais mes yeux sur le sable brulant pour le relevé et le monté sur l'étalon. Parfois faire croire que vous incarnez la joie de vivre est dur... car ce n'est qu'un mensonge que je fais croire... J'ai peut-être pas perdu mon amoureux, j'ai peut-être jamais rencontré celui m'aurait promis de m'aimer jusqu'à la fin mais j'avais rencontré et j'avais aimer ma mère et mon père. Et j'avais l'envie, l'envie d'hurler de tout mon corps. Je me râcla doucement la gorge pour revenir à la réalité et lâchai un nouveau soupire s'évader de mon corps et mes lèvres remuèrent à nouveau un son.
« J'AI PEUR ... » J'avais lâchai ceci dans un moment de panique et mon regard ce redressa sur celui du beau welsh. J'étais moi même étonné de ce que je venais de prononcer et j'étais gêné. Il devait me prendre en plus pour une folle. Je déclarais cela d'un seul sans qui me connaisse. Mais oui, j'avais peur. L'ange noir était chez moi dans mon clan et son seul but & de tous nous anéantirs. Et j'étais sa première victime. Tôt ou tard je sais que ses sabots viendront s'écrasser quelque part sur mon corps. Oui, j'ai peur. Tout mon être tremblait de peur... Tout mon être...
Satan }
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Ce fut à nouveau sa voix qui me tira de mes rêveries lointaines de princesses magnifiques et de vastes prairies vertes et appétissantes. Un peu dans les vapes, je la regarda quelques instants, comme sortant d'un rêve et failli prononcer un « Hein ? » exprimant toute la béatitude dans laquelle j'étais plongé quelques instants plus tôt. Je fit un sourire, sans vraiment savoir ce qu'elle m'avait dit. Finalement, mon sourire s'effaça quand je compris ce qu'elle avait dit. Je lâchas un petit soupir. Vaguement gêné, je ne savais pas trop quoi répondre. Ce fut finalement mon coeur qui parla pour moi, avant que j'ai pu m'empêcher de quoi que ce soit. D'une voix douce et tendre qui ne me connaissait habituellement pas.
- Peur de quoi, Promise ?
Promise
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Connaissez-vous une seul personne dans ce monde qui pourrait venir vous serrer dans vos bras. Vous embrasser et vous dire à combien il tient à vous. Connaissez-vous une seul personne dans ce monde qui pourrait vous dires, chut n'est pas peur, je suis là. Moi, non. Personne. Ils sont tous meurts d'une façon ou une autre. Je dois me rabattre sur mon clan. Je dois être forte pour eux. Mais je sais que seule, jamais j'y arriverais. Non, jamais. Savoir aussi qu'on est les seuls chevaux qui sont là, m'éffraye. J'ai peur... J'ai peur de l'avenir... Du futur... Trop de question m'attaque d'un seul coup, m'assaille. Petit à petit c'est comme-ci je me laissais mourire. Mourir. Je commençais à sentir la force à s'épuisé, l'envie d'être dominante, faire honore à ma mère. Je lâchais un grondement sourd de colère pour moi même et fouetta violement l'air. Je devais me reprendre, être bien plus forte. Je dois l'être... Je suis obligé... L'encolure basse, je la remontais vers le mâle welsh et lâchai quelques petits soufflements délicat quand un bruit de fond ce fit entendre. Un grondement impitoyable et sourd. De gros nuage bien noir menacé le ciel et les gouttes d'eau commencèrent déjà à s'écrasser contre nos peau. L'orage semblait vouloir me redonner des forces, me rendre plus forte et être moins... pitoyable. Toute ses pensés m'avait fais presque oublier la présence de l'étalon du nom de Sparkled Grungry. Il semblait être lui aussi ailleur et ne semblait plus m'apporter quel conque intention de sa part. Je ne répondis pas à sa question et ma voix résonna dans l'air.
« Allons dous abrîtez... »
Je sentais encore les gouttes s'écrasser contre mon corps alezan et ma crinière ce tremper peu à peu ainsi que les crins de ma queue. Mes oreilles bouger sans cesse pour faire fuir les gouttes d'eau. J'attendais une réaction de la part de l'étalon, une simple réaction... Simple...
[ Désoler c'est petit & désoler pour la qualité mais la chanson que j'écoute.... :/ ]
Satan }
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[ C'est ce que t'appelle « petit » ?! Pour ma part, je dis : enfin un beau texte ! Vague d'inspi ! xD ]
La belle Promise semblait un peu perdue et semblait surtout un peu désemparée. Je fis un effort pour me concentrer et ne pas m'en aller à nouveau dans mes rêveries lointaines et la fixa du regard. A nouveau, bien contre mon gré, mes pensées m'emmenèrent ailleurs, aux côtés d'une jument alezane, semblable à moi, à qui j'avais redonné confiance et... Je secoua violemment la tête en m'apercevant que cette jument décrite ressemblait fort à celle qui se tenait face à moi. J'émis un petit soupir gêné et essaya tant bien que mal de me concentrer sur ce qu'elle disait. J'avalai ma salive et mis un certain temps à comprendre ce qu'elle disait. Bizarrement, je me sentais envahi d'une sorte de torpeur. Ce qui ne m'étais jamais arrivé. D'un naturel vif et nerveux, la flemme ne me connaissait pas. « Allons nous abriter... » Là encore, je fut comme « réveillé » en sursaut. Je m'aperçut, comme sortant d'un rêve, que l'orage tonnait et que la pluie dégoulinait le long de ma robe, coulant en petits ruisseaux, les gouttes s'écrasaient sur mon dos et un filet transparent glissais le long de mon toupet. D'un signe de tête, j'acquiesçai. Ce ne fut que quelques minutes plus tard, après m'être mis en marche comme un automate, que je m'aperçut que la belle jument alezane n'avait pas répondu à ma question. Je fis comme si je n'avais rien remarqué. Pas besoin de remuer le couteau dans la plaie. Je repartis à nouveau dans mes rêveries qui furent bientôt à nouveau interrompues. Un éclair zigzagua dans le ciel avant de s'écraser à un mètre devant moi, suivit d'un grondement sourd. Je sortis à nouveau de mon sommeil et me cabra instinctivement. Ce fut le feu qui acheva de me réveiller. Il apparut sous un surplomb rocheux, qui le protégeait de la pluie et les herbes sèches qui n'étaient pas gelées à cette endroit ( comme par hasard ) prirent feu comme des allumettes. La lueur des flammes se reflétaient dans mon regard. Je fis brusquement volte-face, heurtant la jument. Je trébucha, mais me redressa aussitôt. Le feu prit bientôt des proportions gigantesques. Il chauffait la glace qui fondait à son contact, et brûlait tout sur son passage. Je vis qu'il nous encerclait peu à peu. Peur ? Non, je n'avais pas peur de stupides flammèches. Je n'avais pas peur pour moi en tout cas, mais j'avais peur, en effet, peur pour elle...
Promise
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J'attendais toujours une réaction de l'étalon qui semblait complètement être ailleurs tout comme moi il y avait à peine dix minutes de cela. Mon toupet descendant le long de mon front, je laissais l'eau coulait le long de mes membres et des mes crins qui était maintenant coller contre mon encolure comme-ci j'avais fais trop d'exercice et que la sueur collait mes crins. Ma queue en cascade était complètement éparpillée dans tout les sens. Je fus bien obligé de secouer ma robe pour enlevé des gouttes qui me chatouiller et pour faire ou non plutôt pour essayer de faire revenir mes crins à leur place. Un soufflement délicat sortir de mes naseau produisant un petit nuage blanchâtre. L'orage grondait toujours et la pluie était devenue encore plus forte. Je lâchai un grognement de mécontentement et attendais toujours la réaction du jeune welsh. Puis, soudain, il revenu à la vie. x) Je le vis cligner des yeux moins perdu dans ses pensé et je sentis son regard sur mon visage trempait. Puis, il me fit un petit signe de la tête et je lâchai enfin un sourire en même temps qu’un soupire désespéré. Le jeune mâle partit devant moi dans un petit trot. Prendre le galop serait... un peu de la folie. Pourquoi ? Un parce que le terrain était maintenant complètement boueux. Deux parce qu'ils passeraient comme des fusées et ne verrait pas un abris et plein d'autre chose. Le trot était bien mieux. Soudain, je pris comme conscience que nous étions au bord de l'eau, sur une plage. Mon regard ce retourna vers la mer complètement déchaîné et énervée. Une vague de stupeur me prit. Je m'ibo lissais d'un seul mon regard sur la mer, les vagues était bien grande... Par pitié qu'elle ce calme... Par pitié... Malgré cela je n'arrivais à pas détacher mes yeux de la mer et j'étais comme paralysé... Je déglutis lentement ma salive, fermis les yeux et regardai la direction qu'avait pris le mâle et le rattrapa dans un trot rapide. On continua à avancer cherchant, ou plutôt je cherchai car je ne savais pas si l'étalon faisait la même chose que moi, je cherchai donc une grotte ou autre chose. Sauf que un éclair s'amusant dans le ciel tomba pile devant le mâle qui ce cabra. Mon premier réflex à était de reculé par l'éclair et du cabrage de l'étalon. Soudain des milliers de petites flammes apparurent devant nous. Je posais alors mon regard sur le mâle qui fit volte-face et celui-ci me heurta, trébucha mais arriva à ce reprendre au dernier moment. Le feu brûlait... Il arrivait à fondre la glace et bientôt il nous emprisonna. Je reculai à chaque fois mais je sentais la chaleur sur mon croupe qui me faisait bondir en avant. Enfin de compte il faudrait que la mer fasse une énorme vague qui arrive jusqu'à nous, elle arrivera à éteindre le feu... Ou alors, l'éternuera un peu et on pourra alors sauter les flammes pour passer de l'autre côté de la barrière de feu. Pourtant rien ne ce passait, l mer était encore déchaîné mais pas assez pour provoqué une énorme vague et les flammes ce rapprochait tout en grandissant de centimètre en centimètre. << Et maintenant ?>> Prononçais-je d'une voix un peu enroué...
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It'S my life.
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